Prise de la ville

Alcore, qui avais tenté de négocier avec Gismo, ce qui n’avais rien rapporté, décida d’employer la manière forte : Il laissa 25hommes sur au clan, et parti en direction du clan des chevaliers de la lumière.
Les chevaliers marchèrent en direction du clan de la lumière, et le prirent en tenaille ; Gismo n’avais pas le choix, il devait céder, et par ce fait, libérer Edwina, ou se battre, ce qui étais perdu face aux 175 hommes d’Alcore…
Une fois les hommes installés, Alcore ordonna d’attendre minuit, heure a laquelle il avait décidé que les combats commenceraient…
A minuit sonnant, les portes de la cité volèrent en éclat, et la citée fut envahie par cette nuit sans lune, prenant de cour les soldats venu défendre leur ville.
Alcore entra enfin dans la cité accompagné par ses généraux. Ce n’étais pas par lâcheté qu’il n’était pas rentré avec les hommes, mais parce que ses généraux le lui avait interdit…
Il alla voir le premier Sous officier qu’il vit

-Alors, ça a donné quoi ?
-Tout c’est bien passé, pas de résistance. Malheureusement, il y a un problème…
-Quel genre de problème ?
-Pas de trace de la prisonnière mon général, pas plus que de leur chef. Nous interrogeons actuellement le plus haut gradé que nous ayons trouvé, mais ça risque de prendre du temps…
-C’est la le problème, on en a pas…
-Je le sais mon général, et nous faisons au plus vite… Que fait-on pour leur chef ?
-On s’en occupera plus tard, trouvez moi la prisonnière…
-Bien Chef.
Le soldat parti alors en direction de la caserne.
Alcore murmura alors pour lui-même « Ou que tu sois ma Ed, je te trouverais, dus je mettre a feu et a sang ce clan… »
Il s’assit alors sur un tonneau dans la rue, et discuta de l’occupation avec ses généraux.
Deux heures plus tard, le sergent arriva :
-Sergent Castagne au rapport mon général. Le prisonnier viens de cracher le morceau : Nous savons ou se trouve la prisonnière.
Alcore sursauta : -Parlez vite
-Elle se trouve dans une prison dans la montagne. Nous savons comment y aller.-Merci sergent, vous pouvez disposer.
Pendant que le sergent pris congé, il se tourna vers ses généraux :
-Je veus 50hommes sur avec moi, dont le sergent Castagne. Vous vous occupez de la ville.
Il rassembla alors 50hommes sans laisser le temps a ses généraux de parler, puis il parti en direction de la montagne.

Après avoir netoyé la ville, l'armé se retira.